Eh bien non : selon vous, le problème vient de ces damnés opposants politiques qui votent conformément à leurs valeurs. Si vous ne voulez pas que nous votions contre l'un de vos textes xénophobes, arrêtez de l'être ! C'est simple, basique.
À force de courir après l'extrême droite, vous voilà prise dans ses griffes, madame la Première ministre.