Vous ne conservez rien, en prétextant que tout coûterait trop cher : rien pour les petites retraites, rien pour bloquer les prix des loyers et des produits de première nécessité, rien pour les accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH), rien pour nos anciens, qui sont maltraités et pourrissent dans les maisons de retraite – ce qui arrange bien les vautours du secteur privé. Vous refusez même d'indexer les salaires sur l'inflation – seule mesure efficace pour protéger les travailleuses et les travailleurs de notre pays – tout autant que de taxer les superprofits et de rétablir l'impôt sur la fortune…