Je soutiens évidemment l'extension des éoliennes terrestres, mais nous préférons faire porter le crédit d'impôt sur des projets d'éoliennes en mer, parce que les investissements à réaliser sont beaucoup plus importants – il faut notamment des aménagements dans des ports – et le retour sur investissement est plus difficile. L'intervention de l'État est donc plus importante pour ce type d'infrastructures que pour les éoliennes terrestres, qui ont trouvé, d'une certaine manière, leur rythme de croisière et leurs investisseurs. Par conséquent, demande de retrait.