Dans le cadre des négociations qui ont eu lieu avec la Commission européenne, nous avons ouvert plusieurs chapitres qui peuvent satisfaire l'Australie mais, pour des raisons liées à sa situation interne, ce pays pouvait difficilement accepter de conclure un accord sans obtenir le niveau de quotas demandé par ses propres producteurs. Peut-être les choses évolueront-elles à l'avenir ? Nous sommes en tout cas ouverts à la reprise de ces négociations dans le cadre, toutefois, de la protection de nos propres filières.