Monsieur le ministre délégué, vous dites que notre concession principale portait sur la viande ovine pour la Nouvelle-Zélande et sur la viande bovine pour le Canada. Quelle concession principale proposez-vous aux Australiens, auxquels on comprend bien que vous reprochez de ne pas hiérarchiser leurs demandes et de demander à la fois tout et son contraire ? L'Australie a en effet des choses à vendre qui sont précieuses pour nous. Comment pourrions-nous éventuellement surmonter ce désaccord, qui naît d'un excès d'offre ?