On ne saurait mieux dire, monsieur le rapporteur ! J'aimerais vous remercier, cher Bruno Millienne, d'avoir défendu cette proposition de loi, ainsi que vos collègues sénateurs, notamment Vincent Capo-Canellas qui est à l'origine de ce travail parlementaire.
Nous pouvons nous féliciter du consensus large que nous avons obtenu. Il y a quelques mois, nous étions bien seuls, avec certains membres de la majorité, à défendre cette proposition – n'est-ce pas, Pierre Cazeneuve ? –, car tout le monde nous disait qu'au-delà des postures, on ne pouvait rien faire et qu'il fallait donc en rester là.