Quant à nous, nous voterons la motion. Soyons clairs : il ne s'agit pas de décaler de quelques années la mise en concurrence, mais de l'annuler. Monsieur le ministre délégué, on nous promet depuis longtemps 100 milliards d'euros pour le secteur ferroviaire ; pour les trains du quotidien, nous ne voyons jamais rien venir. Où sont les investissements ? Vous nous réclamiez une proposition : quand mettrez-vous l'Île-de-France sous tutelle pour cause d'inaction de Valérie Pécresse ?