Comme M. le rapporteur l'a parfaitement expliqué, cette proposition de loi n'est absolument pas le nouvel épisode d'un processus déjà ancien visant à ouvrir à la concurrence la RATP. Et si certains prêtent bien des intentions à son auteur, c'est probablement dans le seul objectif de se dédouaner : comme je l'ai dit il y a quelques semaines, il est savoureux que, rongés par la culpabilité, ceux-là mêmes qui ont décidé d'ouvrir le réseau à la concurrence en 2009, et qui ont accompagné cette dynamique – en scellant l'accord avec les autorités européennes en 2013, en particulier –…