…dans l'hystérisation d'un débat qui a donné à voir le pire de lui-même, dans le fait de ne pas croire à la possibilité d'un débat apaisé, rationnel, seul à même de dégager un consensus républicain renouvelé sur ce sujet. Votre devoir est de rassurer, d'apaiser et de rassembler les Français.
Madame la Première ministre, je vous le demande sans outrance, sans cri, sans la moindre satisfaction devant le spectacle de votre chute : retirez ce texte qui ne satisfait personne avant d'être entraînée sur une pente et sur un terrain qui ne sont pas les vôtres et que d'autres, après vous, utiliseraient contre la République, contre l'État de droit et contre la France !