Nous ne voulons pas d'une loi qui attaque notre cohésion sociale en pointant l'étranger comme suspect, fraudeur ou délinquant. La menace, dans notre pays, n'est pas l'étranger ; ce sont les mots de l'extrême droite.
Nous ne voulons pas d'une loi pour mener une course électorale avec l'extrême droite. En réalité, monsieur le ministre, vous le savez, vous ne faites pas la course avec elle ; vous validez ses thèses et vous lui donnez le point.