S'il écarte des sujets qui n'ont manifestement pas leur place dans ce texte et qui seraient à coup sûr censurés par le Conseil constitutionnel – s'ils l'étaient, nous aurions menti aux Français en menant des débats qui n'auraient pas lieu d'être –, le Gouvernement s'engage, dès le début de l'année 2024, à répondre aux exigences et aux questions posées par les sénateurs, telles que l'évaluation et la réforme de l'aide médicale de l'État (AME).