Monsieur Bernalicis, depuis que je suis ministre je suis présent lors de tous les débats législatifs qui me concernent au sein de cette commission – même si je n'y suis pas obligé – et je ne vous ai pas beaucoup vu sur ses bancs. Vous n'avez manifestement pas envie d'étudier ce texte. C'est votre problème, mais vous n'avez pas à menacer une parlementaire comme vous l'avez fait.