Votre réponse selon laquelle nous auditionnons une fois par an la Défenseure des droits et la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté ne nous satisfait pas.
Nous reposons notre question : quel est le statut de ces lieux de « mise à l'abri », intégrés aux locaux de la police aux frontières, qui, à Menton, retiennent femmes, enfants, majeurs et mineurs, en attendant que la frontière italienne soit ouverte sur le plan administratif ? J'ai lu que vous prévoyez de les agrandir pour recevoir davantage de personnes.
Vous nous devez une réponse en commission, puisque vous ne la donnez pas par écrit.