Il est triste que certains collègues nous accusent d'instrumentalisation.
Françoise Garcia, vice-présidente de la Fédération nationale des orthophonistes, estime que « l'écriture inclusive ajoute de la confusion dans la conversion entre ce qu'on entend et ce qu'on écrit », car le travail de conversion graphophonétique est difficile pour les dyslexiques.
Nous n'inventons rien et n'instrumentalisons personne. Cette proposition concerne aussi l'inclusion de tous dans la société, y compris, ne vous en déplaise, ceux qui ont des difficultés d'apprentissage.