J'ai principalement retenu de la loi du 4 août 2021 qu'elle avait été adoptée à l'unanimité, après un vrai travail de notre part. On confond souvent l'APD et l'aide gérée par le Gouvernement. Nous avons adopté des amendements importants relatifs au soutien à apporter aux conseils de développement. Vous avez aussi rappelé les nouveaux financements gérés par les ambassades dans le cadre des projets de développement local, que je trouve très intéressants. Cette politique doit être une politique de la France autant que du Gouvernement. Les chiffres le prouvent : plus de la moitié de ce qui est considéré comme de l'APD n'est pas financée directement par le contribuable.
Sentez-vous, depuis la loi du 4 août 2021, des reculs ou de la frustration dans ce qui se passe en coopération décentralisée ou dans les organisations non-gouvernementales (ONG) ? De la même manière que les ambassadeurs sont des chefs d'orchestre, parvenez-vous à être le chef d'orchestre de la France généreuse, et non pas seulement du Gouvernement ?