le pilotage des politiques territoriales de santé par un indicateur territorial de l'offre de santé ; l'augmentation du nombre de places en faculté de médecine ; l'ouverture sociale et géographique dans ces facultés ; le rétablissement, évidemment, de l'obligation de la permanence des soins. Nous continuerons à nous battre pour ces propositions. En attendant, je le répète, nous soutiendrons ce texte.