Lorsque je lis les amendements qu'ils ont déposés, je pense à tous ces Français endeuillés ou blessés à jamais, parce qu'ils ont été les victimes directes ou indirectes d'agressions ou de vols – voire bien pire. Les auteurs de ces faits, caractéristiques de l'ensauvagement qui gangrène notre société, auraient dû être expulsés parce qu'ils étaient frappés d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) ou déboutés du droit d'asile ; toutefois, comme dans 96 % des cas, ils se sont maintenus illégalement sur le territoire en raison de la faillite gouvernementale en matière de politique migratoire.