Expliciter ce point rendrait le texte plus compréhensible.
En réponse à M. Lefèvre, vous avez indiqué que 500 000 étrangers arrivent chaque année en France de manière irrégulière. Vous écartez les 170 000 demandeurs d'asile, que nous ne pouvons inclure dans les quotas – nous n'avons pas atteint ce chiffre, mais imaginons que ce soit le cas : il reste donc 330 000 étrangers sur le territoire, par volonté politique. Si vous retirez les 10 000 personnes concernées par un regroupement familial, que vous avez vous-même exclues, nous atteignons 320 000 étrangers.