Cet amendement de Mme Regol, qui reprend une disposition de la proposition de loi de M. Peytavie, devrait faire l'unanimité puisqu'il vise à inscrire dans la Constitution le droit à une vie digne. C'est un thème qui revient souvent dans nos débats, preuve qu'il nous tient à cœur. Les politiques publiques que nous engageons devraient être guidées par le souci de donner à l'autre les moyens de s'émanciper, de répondre à ses besoins premiers : se loger, se nourrir, se soigner mais aussi tracer sa vie comme il l'entend parce qu'il sera allé à l'école, qu'il aura appris.