du Rassemblement national, si de nombreux Algériens vivant en France sont en effet inactifs, c'est parce que ceux qui nous ont aidés, au cours des Trente Glorieuses, ont désormais droit d'être à la retraite.
Madame Ménard, les étudiants étrangers viennent en France dans le cadre de la politique décidée par la France en la matière. En effet, nous avons décidé d'accueillir 500 000 étudiants.
La diplomatie institutionnelle est bloquée. Ne l'envenimons pas. La diplomatie conduite auprès de la société civile algérienne est très riche. Je suis moi-même député d'une diaspora ; je sais ce que cela veut dire. Laissons travailler les tisserands des liens humains que sont nos diplomates, véritables chefs d'orchestre qui arrivent à jouer avec tous les instruments diplomatiques. Ne faisons pas preuve d'idéologie ni de brusquerie, soyons patients.