Ce n'est pas parce que vous n'êtes pas d'accord sur le fond que vous ne devez pas respecter le débat démocratique !
Privés de nos canaux d'échanges, nous détecterions moins bien et moins rapidement ces profils dangereux qui pourraient rejoindre la France.
Par ailleurs, en tant que ministre délégué chargé du commerce extérieur, permettez-moi de rappeler que l'Algérie est notre deuxième partenaire commercial en Afrique et que la France est le deuxième partenaire commercial de l'Algérie. Des entreprises et des emplois français seraient indirectement menacés par la dénonciation de cet accord ; celle-ci n'est donc pertinente ni du point de vue juridique ni du point de vue politique.