En 1961, Jean-Paul Sartre décrivait Frantz Fanon, militant et activiste pour l'indépendance du peuple algérien, comme la personne la plus séduisante et bouleversante qu'il eût jamais rencontrée. En 1962, Jean-Marie Le Pen déclarait, dans un entretien au journal Combat : « Nous avons torturé en Algérie parce qu'il fallait le faire. »
Depuis, les nostalgiques de l'Algérie française n'ont cessé de répandre leur vision de l'histoire, pourtant contestée par l'ensemble des historiens, chercheurs et sociologues. Gérard Longuet, ancien ministre de votre camp, madame Tabarot, faisait à la télévision, le 30 octobre 2012, un bras d'honneur à l'Algérie.