Faut-il aussi rappeler la suspension des laissez-passer consulaires et le refus de reprendre les ressortissants que nous voulons expulser ?
La réalité, c'est qu'il y a toujours des tensions très vives et très peu de volonté de les apaiser du côté du pouvoir algérien, même si le Gouvernement voudrait faire croire le contraire.
Dans ce contexte, l'accord de 1968 et son régime privilégié n'ont évidemment plus de raison d'être. Monsieur le ministre délégué, notre démarche est légitime, elle est indispensable – vous le savez bien.