Monsieur le rapporteur, souffrez que la démocratie s'exprime et que l'on débatte ! Je sais que vous souhaitiez éviter ce débat en séance publique et le cantonner à la commission, mais le sujet est sérieux et nous devons pouvoir en discuter, comme dans toute démocratie qui se respecte. Des millions de Français, dont le patrimoine pourrait être affecté par ce texte, sont concernés. Il est donc normal de prendre le temps d'y réfléchir.
Si cet amendement était à côté de la plaque, comme vous le laissez entendre, nul doute qu'il aurait été considéré comme un cavalier et que la commission n'aurait pas pris la peine de l'examiner !