Je note, pour m'en réjouir, que vous reconnaissez l'utilité pour notre agriculture des ouvrages de stockage d'eau, et donc de ce que vous appelez les méga-bassines.
Les conversions au bio à marche forcée, avec des incitations réglementaires ou financières, sont problématiques pour notre souveraineté alimentaire, pour la compétitivité de notre agriculture et pour la pérennité des exploitations. Si on va plus vite que le marché ne se convertit lui-même, on crée une catastrophe économique et agricole. Le levier de conversion que vous proposez n'est pas une bonne idée.