Il sera bientôt l'heure de la pause, et nous irons dîner, éventuellement dans des restaurants où travaillent, en cuisine, des travailleurs étrangers. L'Assemblée nationale n'est pas au-dessus de tout reproche : certains de ses sous-traitants emploient de la main-d'œuvre étrangère. Il y a un an, un accident du travail mortel y a eu lieu.
Malheureusement, les statistiques de la précarité tiennent insuffisamment compte de la nationalité. L'amendement a le mérite de rappeler cette triste réalité et de mettre en avant celles et ceux que nous exploitons et que nous refusons de voir.