Madame Regol, vous avez proféré des accusations abjectes. Vous salissez chaque jour un peu plus la politique, à la NUPES ! On a beau s'attendre à tout, vous vous permettez, chaque jour un peu plus, des choses indignes des Français qui nous regardent.
Le combat politique n'autorise pas tout. Il n'autorise pas à proférer de tels mensonges. Vous n'avez pas souhaité citer de noms, je vais vous en donner un, celui de M. Quatennens, votre collègue de la NUPES, qui a été condamné, lui, pour violences conjugales. Qu'avez-vous à en dire ? On ne peut pas continuellement insulter ses collègues et ne pas assumer ses propos !
L'enfer est pavé de bonnes intentions. Les vôtres, qui fondent votre vision immigrationniste de la France, font du quotidien des Français un enfer. Cela fait plus de trois heures que vous donnez des leçons de morale, rappelant que l'hospitalité est une vertu sacrée, dégoulinant de bons sentiments. C'est tellement plus facile de se regarder dans la glace le matin en se disant que l'on est généreux ! Mais combien de MNA et d'immigrés accueillez-vous chez vous ? Comme chacun ici, vous êtes protégés. Vous avez un bon salaire, vous vous déplacez en taxi, vous vivez bien. Ailleurs, les Français vivent en face de la délinquance et de l'immigration de masse.
Vous vous dites généreux, mais vous êtes responsables des morts en Méditerranée. Si les migrants s'y aventurent et y meurent, c'est parce que vous leur laissez croire que notre pays est un eldorado. Assumez le fait que votre fausse générosité crée ces morts et ces drames ! Notre générosité est véritable : elle consiste à accueillir ceux que nous pouvons accueillir, soit, malheureusement, les seuls bénéficiaires du droit d'asile, qu'il faut préserver. Pour les autres, il faut dire « Stop ! ». C'est ce que les Français, dans leur grande majorité, attendent.