Lorsque l'on va faire du tourisme, on peut ne pas parler la langue du pays que l'on visite. Quand on est censé aller travailler dans un pays, mieux vaut connaître la langue – sinon, c'est que l'on n'y va pas pour travailler.
J'entends que les chiffres existent, mais il serait préférable qu'ils soient intégrés dans le rapport. J'ai bien compris enfin que, s'agissant de Mayotte, le nombre de MNA annoncé par le ministre ne correspond manifestement pas à la réalité, puisqu'il ne comprend ni ceux de Mayotte, ni ceux de l'outre-mer. Les chiffres que l'on trouve à droite ou à gauche posent une difficulté ; s'ils étaient dans le rapport, ils pourraient au moins être considérés comme officiels entre guillemets.