Le levier que vous proposez pour faire face à la faim en France ne repose pas sur une prestation sociale et recueille mon assentiment.
Vos réflexions rejoignent l'ambition de la loi du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, dont les dispositions ne peuvent cependant se mettre en place en un jour. J'émets un avis défavorable, car la mission Solidarité, insertion et égalité des chances, comme l'a rappelé la Première ministre le mois dernier, comporte déjà une enveloppe de 60 millions d'euros pour un plan intitulé « Mieux manger pour tous ». Je suis défavorable à cet amendement.