Je saisis l'occasion pour regretter, très amèrement, l'irrecevabilité d'un de mes amendements qui suggérait de transférer les crédits d'APD des pays non coopératifs vers la défense de la francophonie. Mon amendement était parfaitement chiffré, argumenté et équilibré financièrement. La motivation de son refus me semble purement idéologique.
Je soutiens volontiers les amendements II-CF383 et II-CF2712. Nous ne pouvons plus nous permettre de soutenir le développement de pays qui refusent de reprendre leurs clandestins qui ont violé nos lois.