La loi du 4 août 2021 prévoyait que le niveau 0,7 % de l'aide publique au développement (APD) serait atteint en 2027. Nous n'en prenons pas le chemin : cela est regrettable. Le fait que le conseil présidentiel de développement revienne sur les objectifs fixés par le Parlement soulève aussi certaines questions.
Je salue la hausse de l'APD pour la Palestine, tout en m'interrogeant sur les volumes qui transiteront par l'Agence française de développement (AFD) et par l'Union européenne.
La question du financement reste ouverte : selon nous, une réforme de la taxe sur les transactions financières est nécessaire.
Notre groupe soutient la libre administration des collectivités, la négociation de contrats bilatéraux présenterait des avantages pour les différentes parties.