Monsieur le rapporteur, il ne faut pas oublier la réalité opérationnelle des officiers de protection. Pour l'avoir été à l'OFPRA, à la commission de recours des réfugiés, je sais que, face à une masse de dossiers à traiter, le critère du pays est le premier examiné. Le traitement est moins poussé pour les dossiers des ressortissants des pays classés comme sûrs.