Je propose d'intégrer dans le rapport annuel une information sur la dimension externe des migrations. Cela recouvre les causes géopolitiques profondes tout en permettant d'aborder la dimension sécuritaire, les aspects relatifs à l'État de droit et au climat, mais aussi les ingérences étrangères. On a en effet pu constater que les migrations pouvaient être instrumentalisées par des pays comme la Biélorussie ou la Turquie, par exemple.
Cela permettra d'en discuter lors du débat annuel mais aussi, le cas échéant, lors d'un débat au sein de notre commission.