Dans son sixième rapport, il indique au contraire les solutions dans lesquelles nous devons collectivement investir : l'agroécologie, l'agroforesterie, les systèmes agricoles mixtes et diversifiés, la préservation des écosystèmes d'eau douce. Bref, il s'agit de faire le pari des solutions naturelles. Si l'on préserve les sols, cela permettra de conserver l'eau, de la laisser s'infiltrer.
Vous vous obstinez à refuser de discuter d'un moratoire qui consisterait à faire une pause.