Vous n'assumez pas non plus le fait que cette interdiction ne repose sur aucun critère, si ce n'est le gigantisme des bassines, que vous ne définissez même pas ! Pourtant, vous savez bien que ces ouvrages sont déjà soumis à autorisation ou déclaration préalable, qu'ils font l'objet d'études de volume, d'études d'incidence ou d'impact évaluant l'ensemble des répercussions de chaque projet sur l'eau et les milieux aquatiques. Vous savez également que chaque dossier fait l'objet de nombreux examens dans le cadre de procédures strictes.
Par ailleurs, des projets comme celui de Sainte-Soline n'ont pas abouti sans respecter certaines conditions ni donner lieu à des contreparties inédites, incluant des objectifs de réduction des volumes prélevés et d'utilisation de pesticides. Vous oubliez aussi de dire que certains projets ont été annulés, ce qui démontre l'exigence des textes en vigueur, sans pour autant remettre en cause la pertinence de ces installations.
Inutile d'argumenter davantage : il n'y a ni rigueur scientifique ni objectivité dans ce texte. C'est une nouvelle occasion manquée de débattre de sujets bien plus constructifs,…