Enfin, comme le disait si justement Albert Camus, mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde. C'est pourquoi, ainsi que l'a proposé notre collègue Pierre Vatin en commission, nous souhaitons nous en tenir à l'expression « outre-mer », qui sera moins polémique que celle de « territoires transocéaniques de France » – évitons la novlangue !
Nous soutiendrons votre proposition par fidélité à nos frères ultramarins. Ce qui compte, c'est de renforcer la protection de nos 2,6 millions de compatriotes qui ne doivent pas être coupés de la République. Votre proposition est importante et nous serons à vos côtés !