Nous devons, lors des négociations d'accords commerciaux internationaux – avec l'Australie ou le Mercosur, le Marché commun du Sud, par exemple –, imposer le respect des normes qui s'appliquent aux produits issus de l'Union européenne.
Notre souveraineté alimentaire est en danger, et l'exemple du maïs est édifiant à cet égard. Alors que la production française était autosuffisante il y a quelques années, nous sommes hélas devenus le plus gros importateur de maïs de l'Union, lequel fait l'objet de traitements phytosanitaires interdits en Europe. C'est l'enfer…