Il existe une autre logique, qui n'est donc pas du tout la vôtre mais qui nous convainc bien davantage : c'est celle que l'on appelle communément, depuis plusieurs millénaires, la démocratie, laquelle permet, grâce à des scrutins organisés au suffrage universel, de trancher de grandes options politiques. C'est ce que nous défendons, et il nous semble que le présent texte ne va pas dans cette direction.