Elles sont évoquées dans deux paragraphes du texte, mais leurs conclusions, elles-mêmes contradictoires, n'ont été mentionnées par aucun orateur. Il s'agit uniquement de défendre la place de la France dans les dispositifs européens et, par extension, celle de M. Macron, donc de lui faire confiance. Eh bien, nous n'avons pas confiance en lui. Cette Europe-là, vous la ferez sans nous ce soir, mais ce n'est qu'un sursis, puisque les Françaises et les Français vous empêcheront de la faire en mai prochain, lors des élections européennes.