Ces corps, ils les recueillent dans des conteneurs qu'ils ont sur leur bateau et ils s'occupent de les identifier pour pouvoir les rendre aux familles quand c'est possible.
Je dis cela parce qu'il faut se rendre compte de ce que signifie travailler pour ces ONG et vouloir porter secours à ces personnes qui traversent la Méditerranée non pas seulement au péril de leur vie, mais tout simplement pour leur survie. Donc, oui, nous devons être au plus près de ces ONG et non les criminaliser – comme le propose le présent texte, qui tente d'établir un signe d'égalité entre ONG et passeurs, ce qui est abject.