seize autres personnes ont été blessées à l'arme blanche, dont trois grièvement. Un déchaînement de violence a fait basculer une commune française dans l'horreur. Je veux dire, au nom de la représentation nationale, toute notre solidarité de cœur et d'esprit devant cette tragédie et saluer la dignité et la gravité de la marche blanche organisée à la mémoire de Thomas. Il importe que justice soit rendue, mais la justice n'est ni la vengeance ni la vindicte.
Pour Thomas, en signe de solidarité avec ses parents, sa famille, ses amis, ses proches, je vous demande, mesdames et messieurs les membres du Gouvernement, mesdames et messieurs les députés, de bien vouloir observer une minute de silence.