Rassurer les populations sera difficile tant que nous n'adopterons pas une attitude comparable à celle que nous avons eue au moment de l'épidémie de covid-19, avec une formule bien connue : « quoi qu'il en coûte ». L'heure est venue de consacrer les moyens nécessaires au travail de cartographie qui permettra d'indemniser correctement les victimes, et surtout de sécuriser ces moyens dans le temps grâce à la loi programme que nous réclamons tous. En guise de conclusion, je tiens à remercier l'Assemblée nationale et le député Nadeau : grâce à eux, nous sommes désormais les maillons d'une chaîne qui part du terrain, des populations, et remonte jusqu'aux Nations unies, à l'échelon supranational, où l'on a également pris conscience des problèmes de nos territoires et où l'on œuvre aussi à réduire ces inégalités.