Ce non-lieu est une décision de complaisance, le résultat d'un arrangement politique. Il y a beaucoup de pression autour du dossier chlordécone qui est, au dire même des administrations, un sujet brûlant.
Cet abominable non-lieu de complaisance, je le répète, témoigne d'un tel mépris envers le peuple martiniquais que je crains qu'il n'ait des conséquences terribles – le mépris suscite la violence. C'est pourquoi je compte sur la proposition de loi déposée par Marcellin Nadeau pour nous permettre d'avancer et d'effacer le souvenir de cette humiliation.