La mobilisation de la population a tout de même permis de petites avancées : le coût de la dépollution de l'eau par les filtres à charbon dans le nord de la Martinique, qui était jusqu'alors assumé par les collectivités territoriales, est aujourd'hui à la charge de l'État. Mais ce progrès, modeste, reste très insuffisant : des changements importants sont nécessaires à beaucoup plus large échelle.