Les oléoprotéagineux, ne nous y trompons pas, nécessitent des insecticides et des fongicides. Il ne faut pas en avoir une vision tronquée. Je rappelle, au risque de déplaire, que la grande culture dont l'indicateur de fréquence de traitements phytosanitaires (IFT) est le plus bas est le maïs.
Nous menons deux projets partenariaux de recherche visant à la diversification des cultures, les plateformes Syppre et le projet d'adaptation au changement climatique des assolements des exploitations (Acclimate), lequel reprend des travaux abandonnés par l'Inrae il y a vingt ans. L'un et l'autre illustrent le dynamisme de la recherche en la matière.