Avec 100 000 euros par an, pense-t-on que l'on puisse obtenir des résultats ?
Dans la filière des grandes cultures, on estime que 36 % des bioagresseurs seraient gérables avec une réduction de 50 % des produits phytosanitaires dans les années qui viennent. Nous ne sommes donc pas sans visibilité. Vous le savez, notamment eu égard au grand plan que la Première ministre a annoncé lors du Salon de l'agriculture, il faut mobiliser des enveloppes importantes pour que l'ensemble des acteurs puissent monter des projets dignes de ce nom et trouver des solutions. Nous pourrons détailler nos idées en la matière.
Il ne faut surtout pas imaginer que nous refusons de travailler : nous sommes conscients des enjeux ; la recherche de solutions est une de nos priorités.