Ce n'est pas ce que j'ai dit ! Je ne suis pas là pour juger mes prédécesseurs ; dès mon premier discours de ministre de l'agriculture et de l'alimentation, lors de la passation de pouvoir avec mon prédécesseur, j'ai insisté, alors que la guerre entre la Russie et l'Ukraine n'avait pas commencé, sur le fait que le sujet le plus important était celui de la souveraineté. Cette dernière exige de produire et de protéger : il faut parvenir à produire la plus grande quantité possible mais de manière durable. Tout ce que j'ai tenté de mettre en œuvre s'inscrivait dans cette vision. Les plans Écophyto, l'investissement et une politique internationale ambitieuse sont essentiels pour consolider le pilier de la protection.