Nous ne faisons pas de différence entre pesticides et biocides : les uns et les autres ont des conséquences sanitaires, que le ministère de la santé a à prendre en compte.
Comme dans beaucoup d'autres domaines, la coopération européenne est une nécessité. Il est très important, quand c'est possible, d'arriver à une position commune, surtout s'agissant de décisions que nos concitoyens ont du mal à comprendre : c'est, pour eux, un gage de confiance. Dans le cadre de la planification écologique de notre système de santé, j'ai des échanges réguliers avec mes homologues européens et j'ai pu constater combien il est précieux d'aller voir ce qui se fait ailleurs.