La santé environnementale fait partie de la feuille de route du ministère de la santé. Les différentes études visent à améliorer nos connaissances afin de démontrer scientifiquement la présence ou l'absence de risques sanitaires, puis, en fonction des résultats, contribuent à la prise de décision concernant la modification, la suspension ou l'interdiction d'usage de produits phytosanitaires.
S'agissant de la maîtrise des risques d'exposition et, plus généralement, de l'application de la méthode One Health, mon ministère défendra la nécessité d'une instance interministérielle consacrée à ces questions de santé globale, associant les ministères chargés de l'économie, de la recherche, de l'agriculture et de l'environnement.
Ces deux éléments doivent impérativement s'articuler.