Au fil des auditions, plusieurs interlocuteurs ont fait valoir que l'attention devait se porter en priorité sur la ressource en eau et sur l'empreinte carbone plutôt que sur la réduction des produits phytosanitaires. À la lumière de votre retour d'expérience, pensez-vous que ces batailles sont interdépendantes et qu'elles doivent être menées de front ? La réduction de l'impact carbone et la diminution du recours aux produits phytosanitaires participent-elles d'une même dynamique ?